#dérive

Description du projet par Eve-Andrée Lacombe :
«Dérives [ou #dérive] est un projet hypermédiatique collaboratif offrant un univers totalement éclaté. À la base, le concept de Dérives a été imaginé par l’auteure Victoria Welby, qui a ensuite demandé la collaboration de Benoit Bordeleau afin de créer ce qu’ils appelleront un nouveau «chantier littéraire». Tous deux ont élaboré une liste de règles plus ou moins poreuses et ont eu recours à divers matériaux (textes, photographies, images, etc.) hors du cadre du projet pour doter Dérives d’un riche intertexte. Plusieurs collaborateurs se sont greffés à Dérives au fil du temps, ce qui a entrainé quelques modifications aux règles préalablement définies, créant ainsi une ouverture toujours plus grande, laissant place à plus de possibilités de création. De plus, les règles s’avèrent plutôt comme des anti-règles, renvoyant d’elles-mêmes à la possibilité déjouées au fil des dérives des collaborateurs.»

Le principe du projet est librement inspiré de la dérive telle que définie par Guy Debord et l’Internationale Situationniste. Pour découvrir l’historique du chantier de création, voir le site de Victoria Welby et le site de Benoit Bordeleau.

Pour ma part, je participe au projet #dérive depuis 2015, principalement sur Twitter, et à l’occasion sur Facebook ou Instagram, en créant des textes et des images.

Pour voir mes publications, consultez le fil #dérive dans Twitter.

J’ai aussi pris part à l’escouade de la dérive lors d’une performance collective le 26 mai 2019 à la Galerie SBC dans le cadre de Publishing Sphere. Vidéo par François Bon.